Le BDSM c'est quoi ?
Que signifient les lettres BDSM?
Le BDSM se déroule à domicile, entre adultes consentants. Parfois, certaines personnes créent un donjon chez elles (une pièce dédiée au BDSM, équipée de tous les jouets, équipements et précautions nécessaires) et reçoivent des followers sélectionnés dans ce lieu privé. Vous devez en avoir entendu parler dans certains livres pour adulte qui sont populaires depuis un certain temps. Le BDSM aura également lieu lors de soirées plus ouvertes aux publics, et les gens seront reçus dans des cachots plus grands. Ces soirées, bien qu'elles soient ouvertes à plus de monde, elles sont très sélectives et très sécuritaires. Les agents de sécurité sont toujours prêts à emmener ceux qui ne respectent pas les règles. Que ce soit pour le visionnage ou la participation, un code vestimentaire est requis et le consentement doit toujours être recherché. Il n’y a pas non plus de place pour juger la nationalité, le sexe, le genre, l’orientation sexuelle et le statut d’une personne (dominante, soumise ou les deux).
BD fait référence à la retenue et à la discipline. La contention est en fait l'utilisation de cordes, de menottes, de corsets, de combinaisons en latex ou de cages pour lier ou restreindre les mouvements. La discipline signifie obéir à votre maître ou à votre dirigeant. Par conséquent, si la personne obéissante désobéit de quelque manière que ce soit (verbale, physique, psychologique, monétaire), elle sera punie des conséquences prédéterminées des deux parties. Cela peut être le fouet, les coups, la privation sexuelle, l'interdiction de la masturbation dans la semaine, le port obligatoire de la ceinture de chasteté/cage à pénis, etc.
DS fait référence à la relation dominance-soumission. La relation dominance-soumission est une relation particulière. Elle est régie par un contrat entre deux personnes, qui doivent expliquer leurs besoins et leurs limites. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, le soumis a le pouvoir de décision de mettre fin à la scène ou au jeu à tout moment, et de prononcer des mots sûrs en cas de besoin. Cette relation est une sorte de confiance, car chacun testera ses limites dans la discussion. C'est pourquoi vous devez toujours vous assurer de respecter les autres, de rester vigilant et d'utiliser des mots lorsque des problèmes surviennent. Si cette relation est mal comprise ou faible, elle peut être destructrice : le BDSM peut continuer à exister dans l'esprit de quelqu'un.
Enfin, SM renvoie à l'aspect sadomasochiste. La douleur en BDSM est un outil pour augmenter le plaisir, vous permettant d'atteindre l'orgasme. C'est une chose délicate et subtile, et elle s'élève progressivement. Qu'il s'agisse de punir le soumis ou de l'amener à l'orgasme, la douleur est utilisée pour réduire la distance entre domination et soumission, et pour renforcer le lien qui relie les deux partenaires. Il produit des endorphines et de l'adrénaline, donc il produit une sensation de bonne humeur. Il est attendu et voulu, attendu et attendu. Par conséquent, il existe autant de façons de pratiquer le BDSM qu'il y a de logarithmes de partenaires différents, et ils sont tous égaux. Chacun doit construire une relation qui satisfasse les besoins des deux parties autour des trois axes.
Plusieurs choses à retenir avant de se lancer dans le BDSM
Cela peut être dangereux, surtout d'un point de vue physique. Le but est d'apprendre à utiliser divers instruments comme les menottes, cravaches etc, car cela peut facilement blesser votre partenaire. Certains endroits sont très sensibles et doivent être évités. Il en va de même pour le bondage : il faut savoir bien retenir son partenaire (celle-ci est un art !) pour éviter de couper la circulation sanguine, ce qui peut provoquer des blessures graves voire la perte de membres. Aphrodizlove fournit du matériel pour vous familiariser avec le monde BDSM. D'autres précautions doivent être prises, notamment la protection et l'entretien des jouets et de l'équipement. On évite aussi de confondre drogue ou alcool avec le jeu, ce qui peut être très malsain, car sous l'influence du matériel, on perd la conscience des limites. Enfin, nous ne permettrons jamais qu'une personne soit immobilisée ou attachée sans surveillance, afin de ne pas risquer de la mettre mal à l'aise.